Ce 28 août 2022, date anniversaire de mon mariage, cela fait un an que j’ai fait face à un test. Il s’agissait de mesurer ma capacité volontariste à « maximiser mon utilité » dans mon couple, comme dans le reste de l’existence. C’est ce que, j’ai appelé : ‘’ le Test d’utilité’’.
Je l’avais subi avec une certaine franchise au front devant monsieur le Maire dans une banlieue de Lomé à 09h 05’car j’espérais élever « mon niveau d’utilité » au-dessus de ce qu’il serait si je restais célibataire. Et comme j’étais en concurrence pour trouver la meilleure conjointe, on pouvait en déduire l’existence d’un « marché » de ce mariage. Il s’agissait d’un marché sans prix dans lequel moi, Alexis M. PATATCHI, j’avais classé ma partenaire potentielle selon un ordre de préférence. C’est ce que, j’ai appelé : ‘’la théorie des préférences sentimentales’’.
Ma préférée c’est Merveille C. ACOTIE. C’est avec elle que j’ai visé réaliser à la fois une consommation et une production jointes. Merveille est une femme de fond, forte et indépendante. C’est ce que, j’ai appelé ‘’Une Femme d’utilité’’.
Et comme le mariage obéit à un calcul « coûts/utilité » reposant sur une comparaison entre la satisfaction sentimentale et monétaire, d’une part, et le désagrément lié à certains aspects de la vie commune et au coût de sortie que représente le divorce, d’autre part ; nous optimisons notre utilité tous les jours pour une satisfaction optimale du couple afin de garder notre flamme intacte. C’est ce que j’appelais : ‘’le plan de maintenance du couple’’
Alors, je me dis avec une marge d’erreur non significative que, le mariage est un test d’utilité qui vise à mesurer le bien-être. Le mariage est un fait sociétal ‘’oui ’’ mais aussi un fait ‘’ économique ’’. Le mariage est une mesure du bien-être.
Alexis M. Patatchi dit Pareto91